Le calme après la tempête... [PV Tommy chou]

[HJ : Oui je fais des rp maintenant ! En plus du flood evidemment ! =D]

A deux heure du matin, le calme était revenu dans la salle commune des Serpentards. Endroit qu'Hélèna s'était tout de suite approprié. Elle avait été répartie le soir même dans la célébre maison des fourbes et autres qualités très appréciés des autres maisons. Evidemment elle avait été le centre de toutes les attentions avec les autres petits nouveaux. Mais elle avait tout de suite mis une distance entre elle et les autres. Elle n'était des leurs. Oui, elle était une très influente sang pur en Russie et en France avec une petite notorieté en Italie. Justement, elle n'avait rien à faire avec ces personnes, ils étaient omnubilés par leur petite guerre d'enfants, ce n'était pas son genre. Elle ne ressentait aucune haine envers les gryffondors. Sa soeur y avait été envoyé. Hell était resté jusqu'à ce que tout le monde disparaisse, fumant cigarette sur cigarette. Elle était à présent seule, l'uniforme avait été rangé et elle avait retrouvé ses vêtements habituels : une petite robe noire à fines bretelles, simple mais efficace.
Elle lissa un plis inexistant et passa ses deux jambes par dessus l'accoudoir. Elle venait d'acheter les chaussures qui étaient censées se trouver sur ses pieds mais qui avait été lancé au hasard dans la pièce juste après le départ du dernier serpentard. Elle les adorait. Elle les avait trouvé dans une petite boutique à Paris, alors qu'elle rejoignait sa soeur pour une séance shopping après un petit voyage personnel en Russie. Alors qu'elle se plongeait dans les souvenirs de son escapade, un bruit la fit se retourner....

*Des nouveaux ? Comment ça des nouveaux ? S'il fallait que maman apprenne que je suis ici et que le changement est possible, je peux dire bonjour a l'école de chouchou ou a l'armer* pensais-je. Ce soir deux nouvelles étaient arrivé. Une chez les Bouffondors et une a Serpentard. Celle ayant été envoyée ici s'appelait ... Hélène ? Lène ? Lèna ? M'enfin un truc dans le genre d'Hélène ...

Elles avaient été réparties durant la sorée. Moi j'étais retourné au dortoir quand même assez tôt. Naturellement, les petit poufsouffle que je croisai eurent droit a un joli regard qui leur donne les frisson et qui me plait tant.

Malheureusement pour moi, ce soir là je ne trouvai pas le sommeil. Comme les deux autres nuits qui avait suivi l'appel de mon père. J'avais refuser de lui parler, Il avait donc dit qu'il passerais me voir a Durmstrang, l'école ou je n'était pas. Ensuite j'avais appeler grand-mère. Elle m'avait donner deux choix. Numéro un : Soit tu le rappel et tu lui parle. Numéro deux : Soit je monte un joli plan pour qu'il évite Durmstrang.

J'avais catégoriquemet refuser de lui parler. Je ne lui avait pas reparler depuis l'"accident". Je passai machinalement mes doigts sur ma cicatrice, les trois coups n'avaient pas été au même endroit, mais lorsque ça avait cicatrisé, ça c'était croisé pour donné une seul et unique large cicatrice. Le médecin m'avais dit qu'après deux trois ans la cicatrice seras disparue, deux ans mon oeil ! Ça en fait six et elle est encore et toujours là et toujours aussi visible.

Sentant la colère monté de plus en plus a la mémoire de ce souvenir, je décidai que prendre un peu l'air ne me ferais pas de mal. Je commencai a descendre les escalier lorsqu'une odeur de ... de Cigarette me vint au narines. Étrange, je ne savais pas qu'il y avait un serpentard qui fumait. Puis de toute façon je en contre-fiche.

Je continuai de descendre ayant comme seul habillement mon bas de pyjama. Lorsque j'arrivai en bas je vit ce qui avait été le centre d'attention de la soirée. Le nouveau joujou cent un. La nouvelle quoi. Je la dévisager de l'escaliers durant un moment puis continuai ma descente faisait tomber au passage un vieux morceau de pierre du mur. La fille se retourna, je lui jetai un bref regard et allai m'asseoir sur le bord de la fenêtre sans lui porter plus d'attention.

[La salle commune des serpentards est sous le lac, il n'y a pas de fenêtre mais des ouvertures qui laissent passer la lumière à travers le lac.]

Interressant... Un garçon qui l'ignorait et qui était terriblement bien fait, rien de mieux pour interresser la jolie Hélèna. Elle haussa un sourcil parfaitement épilé en voyant l'hideuse cicatrice en bas de son dos. Qu'est-ce qui avait bien pu lui faire ça ? En tout cas cela représentait une magnifique entrée en matière pour elle. Il l'interressait, comme la plupart des garçons mignons. Elle se leva, sans se soucier de la froideur du sol sous ses pieds nus. Elle était allé tellement souvent en Russie que le froid ne l'importunait plus. La Russie était un véritable havre pour elle, la plupart de ses amis s'y trouvaient. La France ne lui paraissait pas aussi attirante. Elle adorait le froid.
Elle s'installa devant lui, le regard déterminé. Elle ralluma une nouvelle cigarette, attendant quelques secondes avant de parler.

"Enchantée de te rencontrer... Hélèna Perry !"

Evidemment, elle avait un léger accent qui oscillait entre le français et le russe, les deux langues qu'elle parlait le plus. Elle se souvenait qu'elle l'avait remarqué lors du repas et ensuite un garçon s'était mis à lui parler. Elle se souvenait de son prénom : Tom. La cicatrice l'interressaitet elle n'allait pas tarder à le questionner, avec son naturel habituel mais aussi cette insolence qui la caractérisait tant. Elle regardait le serpentard droit dans les yeux. Il était pas mal du tout.

[C'est vrai j'avais oublier =X dison que je me suis adosser contre le mur alors XD]

Je m'était habituer au sol froid de la salle commune. Je m'était habituer a tout ce qui aurais pu me dépayser ici. Le seul truc auquel je ne m'habitut pas c'Est que il y a un idiot qui ronfle comme un camion dix roues ! Nan mais oh ! Il est pas seul dans se dortoir.

La nouvelle se leva et s'approcha de moi pour finalement se flanquer carrément devant moi, je ne bronchai pas, j'était déterminer a l'ignorer, malheureusement, je suis pas du genre a être déterminer très longtemps.

Elle s'alluma une autre cigarette. Bien que la faible fumer me pique les narines, je ne bougeai pas. Je ne dégnai même pas de lui adresser un regard. Elle attendit encore quelques secondes et finit par parler.

"Enchantée de te rencontrer... Hélèna Perry !"

Je reconnu facilement un accent, le Français, langue que je maîtrisait un peu, mais l'autre était plus difficile, peut-être de l'allemend, non ... Du Norvégien ? C'était étrange, mais les deux mélanger ça donnais ... Un certain charme.

Je me surpris moi-même a penser cela. Je chassai cette idée. Je me dit qu'il faudrait peut-être que je lui réponde un jour. Ou alors peut-être jamais ? Je pourrais peut-être partir sans rien dire, honnêtement ça m'arrengerais. Grand-mère m'avait toujours dit :

*"Sois toujours galant, poli et gentil avec les petites filles mon poussin"*

Je peut être poli, un tentinet sympathique mais pas gentil ni galant ! pas pour le moment du moin.

Tom Volder répondis-je simplement sur un ton que quelqu'un de normal aurais pu utiliser avec, encore et toujours, mon accent italien.

Elle me fixait droit dans les yeux, j'en fit de même. Même pour un million je n'aurais pas baisser le regard ni ciller. Je la regardais fixement et elle en faisait de même.

Je me doutait qu'elle l'avait vu. Ma cicatrice. Et je me doutais aussi que les questions sur cette balafre n'allait par tarder. En les attendant je regardai brièvement son habillement. Elle avais délaisser la robe de sorcier ... Pas por son pyjama mais bien pour ... Une espèce de robe de soirée a dentelle noir ... tout de même étrenge.

Je passai machinalement a main dans mes cheveux probablement déjà pas mal décoiffer.

[Y a pas de dentelle ! C'est une robe noire à bretelle toute bête]

Il était froid, très froid. Et d'autant plus attirant pour Hélèna qui avait l'habitude de tout avoir en un claquement de doigts, dont les garçons. Elle haussa un sourcil interrogatif en entendant le nom de son interlocuteur. Tom Volder, de la famille Volder, un italien assez connu parmis les sang pur, même si elle n'adhérait pas à ces idéologies elle n'arrivait pas à poser un mot sur cette classe sociale s'apparentant à des nobles. Elle avait été plusieurs fois dans ce pays, où elle avait des origines par sa grand mère paternelle. Elle n'accrochait pas particulièrement. Elle repensa à cette cicatrice. Cela venait probablement de son enfance de sang-pur, c'était un milieu très strict et conservateur. Evidemment elle repensa à son père, cet homme qui s'acharnait contre elle et sa soeur après avoir bu. Ses yeux se voilèrent un instant. Elle ne voulait pas y penser, plus jamais. Elle avait gardé quelques cicatrices légères presques invisibles sur le dos. Il fallait regardé de très près pour les apercevoir. Elle aspira plusieurs bouffées de nicotine, de façon à bien se bousiller la santé. Sept minutes de vie en moins à chaque cigarette, elle était au courant. Elle s'en fichait, après tout elle n'avait pas grand chose à perdre à part Mary. Elle n'avait pas lacher les yeux de son interlocuteur.

"Cette cicatrice... Est-ce l'oeuvre de ton père ?"

C'était toujours le père... Elle n'imaginait pas que cela puisse être du à une bagarre, un accident. Pour elle ce n'était pas possible. Il faut dire qu'il y avait toujours une part d'elle qui restait dans son passé. Son père avait la phobie des scorpions, elle s'en était fait tatoué un sur la clavicule gauche un soir de beuverie. Ce n'était qu'un exemple parmis tant d'autre... Hélèna était bien plus torturée par son passé que sa jumelle.

[Ouais mais un gars sa fait pas la différence entre la dentelle et le tissu ]

Je vit les yeux d'Hélèna se voiler. Comme il elle venait de partir dans un voyange vers l'arrière, dans son passé. Je ne posai pas de questions et restai de glace. Je repensai au mien. Les constante disputes sur on écoles, sur mon éducation, mon indiscipline, mon destin tout tracé comme on prévoi une journée. Je ne ferais jamais ce qu'ils veulent. Je ne deviendrai certainement pas ministre de la magie. Je ne travallerai même pas pour cette bande de crétins en complet cravate. Les coups que cette opinion m'avait value.

Je clignai des yeux pour oublier.

*Le passé c'Est le passé, regarde devant maintenant.* me dis-je

Hélèna me regardait toujours, moi de même.

"Cette cicatrice... Est-ce l'oeuvre de ton père ?" Dit-elle finalement.

Elle a durer plus longtemps que les autres. Habituellement, les gens lorsqu'ils la voit en parle en premier.

Non c'est pas mon père c'est un crétin fini qui ne pense qu'as sa petite réputation a la con voulus-je répondre. Mais bon, je me retenu.

Oui finis-je par répondre plus froidement.

Pas que ça me dérenge d'en parler, c'Est que quanf j'en parle, la seul envie qui me prend c'est de retournera Venise, c'est de prendre sa foutu ceinture et lui donné les trois même coup qu'il m'avait donné.

Les sensations revinrent. Mon sang chaud coulant comme de l'eau des trois plaie, la brûlure que ça provoquait. J'avais cru durant un instant que mon heure était venue. Que c'était fini. J'aurais aimé que ce soit fini. J'aurais aimé out arrêter. Prendre le moment présent et l'effacer comme une simple erreur d'orthographe sur une feuille blanche avec un crayon plomb. Reprendre le cour de ma vie normale. Ne pas être obliger de renier une famille complète pour un simple crétin. Mais ce qui m'avais le plus atteint n'était pas les coups de ceinture, c'était le mensonge. Mon père avait mentit a ma mère en disant que j'était tomber. Et six ans plus tard c'est toujours ce qu'elle croit. Elle se demande pourquoi son fils reni sa famille, pourquoi il évite le sujet lorsqu'elle appel.

La colère qui avait commencer a descendre remonta en force. Comme une armée de sorcier avec leur baguette contre quelques pauvres moldus sans defense.

Je me levai d'un bond et me frottai les yeux. Je m'était jurer après cet "incident" de toujours rester calme peut importe la situation. Je me retournai vers Hélèna. J'avais penser m'excuser, mais ce n'était pas mon genre, et puis si je le dirais ce serais un mensonge et je ne suis pas un menteur.

Je me contentai de la fixer comme je l'avais fait tout a l'heure. Je ne lui avait pas donné d'explications supplémentaires, si elle tient a en avoir elle demanderas. Elle avait l'air d'avoir un caractère similère au mien. Peut-être pourrais-je bien m'entendre avec elle. Ou alors peut-être pas du tout.

Hélèna se mordit la lèvre. Elle avait vu juste, comme d'habitude. Elle le regarda se lever violemment, comme si il la fuyait, elle qui le mettait face à son passé. Elle attendit que la crise passe, tirant frénétiquement sur sa cigarette. Alors qu'il se calmait elle s'en ralluma une après avoir mis le mégot dans la cheminée. Elle s'était détournée, exposant son tatouage. Cette marque indélébile qui rappelait sans cesse ce qu'elle était : dangereuse. Pour les autres mais aussi pour elle. Combien de fois avait-elle mis sa vie en jeu ? Elle l'ignorait. Mary n'avait pas toujours été là pour la retenir, pour la sauver d'elle même. Tout cela était à cause de sa la naiveté dont elle avait fait preuve avec ce garçon. Elle ne l'aimait plus mais souffrait encore. Elle resta silencieuse une longue minute. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il parle, ce n'était pas son genre. Elle voulait juste lui laisser le temps de reprendre ses esprits. Après tout il pouvait devenir un allié pour plus tard, il paraissait intelligent et elle avait deux ans à faire dans cette école. Autant éviter de se mettre à dos tout le monde. Tout ceci n'était que des excuses qu'elle s'inventait pour ne pas avouer qu'il exerçait sur elle une attraction, différente du désir qu'elle éprouvait d'habitude. C'était plus de la fascination.

"Divergence d'opinion ou faiblesse infantile non tolérée ? Ou bien ça vient de lui ?"

Elle voulait savoir le pourquoi de ces coups. Ca avait été apparament très profond et unique, la dernière hypothèse lui paraissait peu probable. Elle faisait toujours face à la cheminée mais se souvenait très bien que le reste du dos était parfait. Il lui avait suffit d'une fraction de second pour le mémoriser.
Elle se laissa tomber dans le fauteuil le plus proche, avec cette classe insolente qui n'appartenait qu'à elle. Elle se mit à observer ses ongles parfaitement manucurés, attendant la réponse. Si sa "Lizzie", comme elle disait, avait tout pris des Perry, elle, elle avait tout récupéré des Smirnov. Elle avait parlé français et russe avant de parler anglais, pourtant les trois premières années de sa vie elle les avait passée en Angleterre. Evidemment elle n'avait eu aucun mal à apprendre l'Anglais mais elle considérait toujours le français comme sa langue maternelle. C'est pour cela qu'elle avait un léger accent qui mélangeait français et slave.
Elle savait aussi parler Italien, étant donné qu'elle possédait une villa en Sicile, héritage de sa grand mère paternelle, même si ce n'était pas aussi bien que les autres langues.
Chez les jumelles Perry les qualités n'avait pas été partagés équitablement. Hélèna estimait n'en avoir qu'une : son intelligence au dessus de la moyenne. Elle n'avait pas la patience, ni la gentillesse, ni la sociabilité, encore moins la générosité et certainement pas l'humilité, en tous cas pas à ses yeux. Par contre niveau défauts elle avait raflé la mise : impatiente, colérique, méchante, froide, capricieuse, arrogante... Il y en avait toute une liste. Elle n'avait donc pas été étonnée d'être envoyée à Serpentard, mais être séparée de sa "Lizzie" était une véritable torture. Elle maudissait le choixpeau...

[Pour la dentelle je pense qu'ils font la différence ! ^^ Je vais essayer de dormir @+]

[Je sais c'était juste une excuse Bidon XD Bonne nuiiit ]

Hélèna se retourna vers le cheminée. Je remarquer rapidement son tatouage. C'était un scorpion. Peut-être son tatoo avait-il un raison d'être... Un peu comme ma cicatrice. Est-ce que pour elle sa représente son passé. Ou alors peut-être que ce n'est sur un coup de tête qu'elle est allé chez le tatoueur.

Je du m'avouer que cette fille avait de la classe. Je du aussi m'avouer qu'elle était très belle.

Je mit non-chalamant mes main dans les poches de mon pyjama. Et puis comme je m'y attendais fortement, le pourquoi arriva.

"Divergence d'opinion ou faiblesse infantile non tolérée ? Ou bien ça vient de lui ?"

C'était du mélanger. C'était de la divergeance d'opinion en particulier, mais il n'y avait pas que ça. Disont que enfant je n'était pas du genre a me défendre, plus a me laisser faire. Me laisser marcher sur les pieds sans rien dire. Là mon père me frappait disant que c'était pour m'endurcir. J'était parfaitement conscient que ce n'était pas vrai, mais je ne disait pas un mot. Ça venait aussi de lui. À la place de faire une discussion constructive sur mon avenir. J'insistai sur le mon, parce qu'au dernières nouvelles il m'appartient, il n'as jamais été en son pouvoir de renier ce que je voulais vraiment. Il ne faisait que ce convaincre que je voulais la même chose que lui, malheureusement pour lui ça n'avait pas le même effet sur moi. Ça venait aussi de lui. Mais ça il ne l'as jamais avouer, à personne, pas même a lui-même. C'était tout le temps moi qui cherchait les coups, selon lui.

Mais pourquoi je lui dit ça à elle ? Pourquoi elle aurais un traitement de faveur. Réaction que ma grand-mère avait considéré comme un réflexe, je me refermai comme une huitre sur sa perle.

Je regardai Hélèna s'affaler dans une chaise. Très gracieux, mouvement qui, chez quelqu'un de neutre, aurais été peut-ête abusivement non-chalant et probablement hilarant puisque la chaise aurais pu glisser sur le parquet et la personne se prendre le plancher de plaine tête.

Je sais j'emmerde avec mes histoires ... Je sais même pas pourquoi je t'ai raconter tout ça ... Dis-je a guise d'excuse a mon bref moment de faiblesse personelle. Dis-je en guise de simili excuses.

Je me rappelai son tatouage.

Toi, ton tatou il re présente quelque chose ? demandais-je en m'était de tout mon long sur le divant et baillant.

Serais-je ... Fatiguer ? voilà deux trois nuits que ce n'était pas arriver. Je devais rester éveiller, si elle a rester éveiller duron mon monologue, je peux bien rester debout... enfin façon de parler.

Oui, je l'aurais surement su. Après tout elle est a serpetard donc elle n'as automatiquement pas la langue dans sa poche. Je vint a me demander dans quelles maisons j'aurais été envoyé si je n'Avais pas été a Serpentard. Certainement pas a Gryffondors. Serdaigles peut-être.

"Mon père avait la phobie des scorpions, j'étais soûle et j'aime bien..."

Alors elle aussi son père en était un peu a cause. Ce personnage supposément si important était toujours en cause.

"Tu es Italien ?"

Oui, ma famille est réputer là bas dis-je simplement

Oui, pour être réputer ça elle l'est. Elle est une des famille de sorcier les plus puissante de tout l'Italie.

Je me rappelai Venise. Voilà maintenant cinq ans que je n't avais pas mis les pieds. Ça me manquait un peu. J'aimais beaucoup cette ville.

Les rue remplies d'eau, les gondoles, les milles et un restaurents. Tout. J'adorais cette ville. J'aimerais bien y retourner. Cette idée me rappela le dernier coup de fil de mon père.

Je n'aivais pas dit un mot, je tenais simplement le combiner.

"Un jour ou l'autre tu devrais m'affronter, Thomas."

Il n'avais jamais utiliser mon vrai nom, du moin celui inscrit sur mon certificat de naissance. C'était même mon père qui m'avait appeler Tom, puis toute la famille avait suivi, puis je m'était fait connaître sous ce nom.

Je reposai mon regard sur Hélèna. Une sensation étrange m'empêchait d'allé dormir, de m'éloigner.

Toi tu vient de France ? tentais-je

Avec tout ses accents on ne pouvait dire clairement son lieu natal.

"Je suis née en France mais j'ai passé quelques temps en Angleterre au début de ma vie, je vais très souvent en Russie et des fois en Italie. J'ai des origines dans tous ces pays. Je suis une Perry, une Smirnov, une De la lande et une Franzone. Des familles qui sont éteintes pour certaines et dont je suis l'héritière avec ma jumelle..."

"Wahouu .. Elle en a des origines" Pensais-je. C'est donc ça le deuxième accent que je n'arrivais pas a identifier. Du Russe ! Enfin je sais pas si leur langue s'appelle comme ça mas bon.

Smirnov ... Elleavait insister sur ce nom. Il me disait quelque chose. Je crois que mon père en avait déjà parler. Surement une grande famille influante. Si elle était venue en Italie elle avait surement entendu parler de la mienne.

Héritières ? Tu veux dire quoi ? Demandais-je

C'est vrai ! Elle pourrait hriter d'argent mais ça serais étrenge ... Detoute façon côté argent j m'en contre-fiche parce que c'est pas ça qui manque a mon compte.

Je regardai Hélèna jouant machinalement et sans vraiment m'en rendre compte avec un fil étirer du vien divan. Cette antiquité devait avoir le même âge que Salazar Serpentard lui-même, en espérant qu'il ne l'ai pas acheter dans les objet usager ou dans une vente de garage.

Puis je repensai a ce qu'elle m'avait dit. Franzone c'est quoi ? Un endroit qui appartien a la France ? Bah ça marcherais ... Franzone, Zone Française ... Une nom de famille ? Une langue ?

Puis Franzone c'est quoi ? Finis-je par demander au risque d'avoir l'air inculte.

Peut-être l'étais-je ? Peut-être étais-je un inculte ... Peut-être mes parents se seraient tromper sur mon avenir, peut-être serais-je destiner a vendre des café au chaudron baveur. Naaaa ... Ça serais trop beau pour être vrai.

Je balayai la salle d'un regar absent. Lorsque je regardai la table je me rendit compte que j'avais laisser mon carnet a dessin et mon crayon dessus avant d'allé dormir. Beaucoup savent que je dessine, mais aucun ne sait que je veux en faire une carrière. Je les pris, repliai mes jambes pur me faire une sorte de chevalet et entrepris de dessiner. Dessiner Hélèna, pourquoi pas ? Je n'avais jamais réellement fait de portrait ... Si on oubli le jour ou j'avais décider de dessiner le cafard qui était sur mon lit.

Je commencai par ses cheveux, puis la forme de son visage, ses yeux, sa robe etc ... J'en vint au décor. Je n'avais absolument aucune envie de dessiner la salle commune.

Dit moi un endroit que t'aime ... dis-je

Hélèna haussa un sourcil... Etait-il abruti ? Héritière était tout de même un mot simple. Elle comprit alors qu'il lui demandait qu'est-ce qu'elle allait avoir. Hum... Disons un château en Anjou, des proprietés en Russie, une villa en Sicile et un manoir Anglais... Ainsi qu'une autre villa en Grèce où elle n'avait jamais mis les pieds et qui avait été acheté il y a bien longtemps par sa famille maternelle. Non il n'était pas aussi interressé que ça, c'était un Volder après tout, pas un vulgaire Malefoy qui ne savait parler que d'argent.

"Les Smirnov étaient la deuxième plus grande famille sorcière de Russie, il ne reste plus que ma soeur et moi mais ce sang coule dans mes veines et je m'en montrerais toujours digne."

Elle se ralluma une nouvelle cigarette après avoir jeté l'autre dans l'âtre de la cheminée. Elle n'avait pas envie d'arrêter. C'était ce qui lui permettait de tenir, de ne pas foutre sa vie en l'air d'un coup, d'opter pour la destruction petit à petit... Elle l'avouait, lucide, elle était autodestructrice et savait très bien que son passé n'y était pas pour rien. Après tout elle n'avait pas eu d'enfance équilibrée. Comment Mary faisait ? La serpentard se l'était souvent demandé : comment faire quand le souvenir de votre père était celui d'un alcoolique violent ? Comment grandir sans mère ? Comme être soi quand votre marraine vous répétait sans cesse que vous deviez être la meilleure ? Comment s'intégrer quand on se sentait différent, pas à sa place ? Elle n'aurait probablement jamais de réponse. Volder lui demanda ce qu'était une Franzone.

"Une famille italienne de sang-pur dont il ne reste qu'une vieille dame, elle était établie en Sicile."

Elle se mit à fixer la cheminée, reprenant le fil de ses pensées, un peu vexée mais sans rien laisser paraître. Elle se mit à imaginer sa vie si sa mère avait survécu. Elle savait très bien ce que ça aurait été. Son père n'aurait jamais sombré, ils auraient eu une vie de famille heureuse, elle aurait été à BeauxBatons mais n'aurait pas dérapée donc y serait resté jusqu'au bout... Après elle se serait marié à un garçon qu'elle aurait aimé et aurait eu des enfants qui aurait eu le même parcours qu'elle, serait morte très vieille après une vie heureuse. Ce shéma ne risquait pas d'arriver à présent. Volder la tira de nouveau de ses pensée. Quel endroit aimait-elle ? Question étrange. Elle remarqua alors qu'il était en train de dessiner. Elle se leva pour s'asseoir à côté de lui, c'était un dessin d'elle.

"Saint Pétersbourg et toi ?"

Elle avait les yeux encore emplis de vexation et son ton était sec. Elle ne l'avouerais jamais mais ce dessin était très beau.

Deuxième plus grande ... j'étais quand même pas si loin du compte. Je fixai Hélèna. La fumer de ses cigarettes va bien finir par la rendre malade.

Franzone ça vient d'Italie ? J'aurais peut-être dû écouter ma mère lorsque j'était jeune et qu'elle s'éfforcait tant bien que mal a m'inculquer les manières de riches et l'histoire de la famille et des autres famille puissantes du monde.

J'aimais bien lorsqu'elle m'en parlait, mais seulement ... dans le genre avant de m'endormir ... Lorsqu'elle m'y forcat tout ce qu'elle pouvait dire me rentrait par une oreille ert ressortait par l'autre. Je préférais bien mieux retourner dans ma chambre et sortir mes millions de jouet dont je me lassait après deux minutes.

Je balayai la salle de nouveau. La pierre était d'une usure sans bornes. La moindre petite secousse sismique ferais probablement effondrer cette partie de la salle. Les meubles sont eux aussi très usés, menancant a chaque seconde de flancher sous votre poids. Je braquai mes yeux sur la porte. Rien de spécial finalement.

"Saint Pétersbourg et toi ?"

Dorsoduro répondis-je. C'est un petit quartier très calme de Venise, c'était non loin de chez moi. Finis-je continuant de dessiner.

Le décors est ce que j'aimais toujours plus faire. On peu laisser libre cours a notre imagination.

Je ne connaissais Saint Petersbourg qu'en images et mots. Mais je connaissais très bien un endroit la bas. Un endroit ou ma grand-mère allait une fois par année durant l'hiver. J'y étais allé une fois avec elle. J'avais dix ans. L'année ou j'avais quitter la maison de mes parents. Elle tenait a garder son rituel et refusait de me retourner ches mes parents avec mon père. Je l'avait donc accompagner. J'avais dessiner cette cathédrale. Mais lorsque j'avais dix ans mes dessins laissait encore a désirer. J'avais donc decider de retenter ma chance.

Je commencai par dessiner le haut. Descendant très trenquillement. Malgré le fait que sa fasse des années que je n'y soit pas allé, j'avais et j'ai toujours un souvenir très clair. J'avais été tellement impressionné par l'imposante structure et l'architecture qui laissait une petite impression que c'était indien.

Lorsque j'eus terminer, j'ajouter l'ombrage, quelques nuages en tamiser et des passant ... Puis je le signai tout dans le bas.

Dire qu'un jour peut-être j'en ferai ma profession. Tout pour faire rager mon père.

Hélèna c'était assise a côté de moi.

Alors ... Qu'en penses-tu ? lui demandais-je avec un sourire narquois et lui montrant entièrement le dessin.

J'en était plutôt fier. Ce dessins faisait partit des plus réussis que j'avais fait.

Une fois mes parents m'avais inscrit a un cour de dessins moldus, pas sans que je l'ai ai supplier durant une bonne année bien sur. C'était bien. Jusqu'as ce que le moldu de professeur me dise d'y mettre de la couleur. J'avais banni la couleur des dessins, des miens du moin. J'en met seulement pour la peinture. Sinon le noir et blanc exprime mieux selon moi.

"J'aime bien. Je peux le prendre ?"

J'ai réussi a lui faire dire un truc pareille ? Peut-être son caractère était différent de ce que j'avais imaginer ? C'est une possibilité a envisager.

Certainement répondis-je a sa demande en déchirant doucement le dessin de ma tablette question de ne pas trop l'abîmer. Je lui tendit et elle fini par le prendre.

Puis elle me demanda si je voyais toujours mes parents. Mon passé l'interessait-il tant que ça ? Bon ... Pourquoi ne pas lui dire après tout elle fait partit des exclusive qui avait vu ma cicatrice puisque je me rend au dortoir, normalement, tout le monde dormaient.

J'ai vu ma mère pour la dernière fois il y a environ trois ans ... Et j'ai refuser et refuse toujours de voir ni même d'appercevoir mon père répondis-je en m'effonrcant de ne pas fixer Hélèna.

Je reglai mon problème en scrutant le plafond. Exactement comme le reste de la pièce, laid, gris, vieux et en pierre.

Les secondes passère trenquillement sans même que l'envie d'allé dormir me frôle.

Je mit mes mains derrière ma tête puisque l'accoudoir du divan commençais a se faire sentir dans a nuque ce qui faisait plus ou moin du bien.

Toi et ta soeur habiter où maintenant ? demandais-je après un silence.

Joli endroit. Elle aimait bien Londres, un endroit très amusant, bien qu'elle n'y passerait pas sa vie. Elle soutint son regard pendant un long moment, fasciné par la personnalité de son camarade, jusqu'à ce qu'elle se souvienne pourquoi elle n'était pas monté se coucher. Elle se leva du canapé et ramassa ses chaussures, qu'elle mis à ses pieds et se dirigea vers la sortie de la salle commune. Elle était prête à parier qu'il lui suffirait d'ouvrir la porte. Et encore une fois elle avait raison. A peine le panneau entrebaillé, que le volatile de malheur entra et s'écrasa contre le mur. Elle le va un sourcil dédaigneux et l'attrapa avec brutalité. C'était la chouette de sa marraine, que la jeune serpentard avait plusieurs fois essayé d'empoisonner, afin que sa tutrice soit obligé d'en racheter une. Elle récupéra la lettre et jeta le piaf dehors. Elle s'installa sur un fauteuil face à Volder et ouvrit calmement la lettre, qui justement parlait de son avenir. Hélèna l'avait prévu depuis longtemps, depuis son expulsion de BeauxBatons. Sa marraine avait refusé de la voir après ça et elle en tait bien heureuse. Seule Lizzie avait des nouvelles.

Citation :

Ma chère Hélèna,

Je ne m'étenderais pas en banalité. Tu sais aussi bien que moi pourquoi je t'envoye cette lettre. Après ton départ de BeauxBatons, la nouvelle s'est répandue très vite auprès des Sang-Pur. Une des plus grandes héritières d'Europe était priée de quitter la prestigieuse école française, pour mauvaise conduite. Cela a entaché ta réputation.
Cependant, j'ai réussi à laver ton honneur et celui de ta soeur en concluant une alliance avec le fils cadet Bessonov et toi. Je suis sure que tu seras ravie d'apprendre que si tu te sens dans l'incapacité de te marier à la fin de tes études, ils ne verront aucuns problèmes à ce que ta soeur prenne ta place.
Bien affectueusement,

Ta Marraine.

La jeune fille ne sourcilla pas. Elle savait d'avance ce que cette lettre contenait. Evidemment sa marraine avait vu juste en la menaçant de la remplacer par sa soeur mais la prévenir pratiquement deux ans à l'avance était complètement stupide, elle avait tout le temps pour préparer une contre attaque, sans "entacher" sa réputation. Elle plia la lettre et la mit dans son sac, qu'elle avait laissé là.
C'est à ce moment qu'elle se souvint de la présence de son camarade. Elle se dirigea vers lui et s'installa à ses cotés.

"Dis moi ! Que penses-tu des mariages arrangés ?"

Son ton était glacial, comme son regard qu'elle avait tourné vers lui, s'adossant avec nonchalance contre l'accoudoir. Elle était glaciale, comme à chaque fois qu'elle était en compagnie de quelqu'un. Avant de recevoir la lettre elle était fasciné par lui, à présent rien ne l'atteignait, même cette intrigue qui tournait autour de lui.

"Serais-tu stupide ?"

Sa question, plus ironique qu'autres chose, ne me surpris même pas.

Peut-être bien. Qui est l'heureux, ou plutôt de malheureux ? demandais-je en me doutant que si Hélèna n'était pas d'accord avec ça il n'aurait pas la vie facile.

Je reposai mon carnet a dessin sur la table et me levai d'un bon. Je sentit le sol glacial sous mes pieds et frissonai. La fatigue qui m'avait durement attaquer il y a quelques minutes s'était dissiper comme la première neige. J'étirai mes jambes engourdie et fit quelques pas dans la salle.

Je ne comprenais pas pourquoi j'aimais cet endroit, il n'avait rien d'attirant. Les murs de briques froides tombent en ruine, il fait continuellement froid, Les divants et moquettes on probablement le même que ceux qui on crée l'école. Pourtant j'aimais être ici. Peut-être parce qu'ici aucun première année ne vient me voir pour me défier sous l'emprise d'un pari avec ses petit amis morveux. Je jetai un coup d'oeil a la vielle table qui menace, au moindre petit choque, de rendre l'âme. Une antiquiter surement. La réponse d'Hélèna me sortit de mon analyse merdique de la salle commune.

Un riche héritier j'imagine... Commentais-je.

Elle eût un sourire moqueur. Non c'est vrai que remplacer le cadet de la première famille russe par un simple Volder comme lui par exemple etait tout a fait envisageable. Sa marraine serait ravie d'apprendre que la serpentarde s'amusait a rompre un contrat avec les Bessonov en se mariant même pas avec un riche héritier. Elle se figea, la cigarette en l'air. Mais si, c'était faisable. Il lui suffirait de le faire. Elle connaissait sa marraine. Elle adorait Lizzie. Jamais cette femme marierait la soeur de Hélèna de bon coeur. Les responsables de ce chantage était ces idiots de Bessonov. Il lui suffisait de faire de fausses correspondances entré ses defunts ancêtres, disant que jamais une Smirnova épouserait un Bessonov ! Elle découvrirait ces lettres avec faux étonnement.

"Je crois que je ne vais pas me marier !"

Elle se dirigea vers la cheminée, un sourire victorieux au coin des lèvres. Elle jeta son mégot et n'en ralluma pas. Son ton était resté froid cependant. Elle se tourna vers son camarade.

"Pourquoi tu me demandais cela ?"

Elle haussa les sourcils. Après tout il ne lui paraissait pas être du genre à se soucier des autres. Ou alors elle s'était trompé et il était du côté des Bessonov.

Court désolé